La marque Puma lance une collection de NFT

Oui, Puma vient d’atour sur son profil Twitter le nom de l’extension finissant par « .eth ». Pas besoin de faire de grands discours pour annoncer son intention de rejoindre le web3.

À ce niveau là, c’est bien plus qu’une mode. Après avoir tenté les célébrités et les artistes tels que Snoop Dogg, ce sont les marques qui sautent à pieds joint dans les mondes virtuels. Combien de fois avez-vous vu cette extension .eth apparaitre sur Twitter? Un peu comme les profils NFT PFP, cela se propage avec une rapidité déroutante.

Adidas s’est montré avant-gardiste dans le milieu en ayant collaboré avec la collection NFT Bored Ape Yatch Club par exemple pour son inauguration dans le métaverse que vous pouvez voir sur le site officiel. Nike s’était aussi distingué après avoir acheté la marque virtuelle d’objets de collection et de gaming RTFKT.

Nombreuses sont les marques qui cherchent d’ores et déjà à se trouver une place dans l’e-commerce du futur. Elles travaillent sur des NFT, des tokens ou simplement à innover en terme d’expérience d’achat. Même sans trop savoir ce qu’elles font ( qui aurait l’audace de croire qu’il sait où on va avec les métaverses, sérieusement?), elles y vont.

En effet, la seule chose que l’on sait, malgré tout, c’est que le futur du commerce est là, dans le web3 et qu’il est judicieux de ne pas trop trainer pour se faire une place de choix.

Les extensions du nom de domaine

Les marques savent très bien que si elles ne se font pas une place dans les métaverses d’aujourd’hui, demain, il sera peut-être déjà trop tard.

Ne soyez donc pas étonné d’entendre que demain vos marques préférés activement une extension du nom de domaine de la lutte, pour les plus Houelbecquien d’entres vous, qui auront compris notre clin d’oeil. La lutte pour le commerce, pour les nouveaux clients, pour fidéliser des clients, bref, la lutte pour le commerce de demain qui aura une toute aussi grande part dans le web3 qu’il ne l’a aujourd’hui.

Ainsi, lorsqu’une marque affiche son « .eth », elle indiquent aussi clairement au monde entier qu’elles ont franchit le cap. Elles seront là sur les métaverses et elles vont s’adapter au mode de consommation du nouveau monde virtuel qui se développe devant nos yeux entourloupes.

Il y a plusieurs extensions utilisées mais la plus commune et la plus répandue reste celle du .eth et non pas .crypto comme on aurait tendance à le penser naïvement. Unstoppable domain est d’ailleurs un service qui permet l’achat d’extension du web 3 mais c’est surtout la ENS qui est clairement le leader dans ce domaine.

Tout le monde peut y créer son adresse avec sont extension .eth et avoir son propre site sur le web 3. Pour ce qui est des avantages, dites vous que tout les détenteurs d’un site .eth peuvent donc recevoir des actifs cryptos, des jetons et fonctionnent en plus comme un site tout ce qu’il y a de plus « classique » du web2.

Le site ENS revendique avoir déjà des millions d’adresses crées.

De plus en plus de marques auront leurs URL décentralisés, c’est un fait. Et d’ailleurs, comme avec les célébrités, cela reste aussi un formidable coup de com’. Combien d’articles pour relayer cette info sur Puma? C’est du pain béni pour les marketeux, vous en conviendrez, cher lecteur.

Ce qui est certain, c’est que nous sommes en pleine transformation digitale. C’était peut-être la même chose lorsque le web à conquis les espaces et que l’on a vu les marques ouvrir leurs boutiques en ligne? Peut-être que c’était la même chose et que moi qui écrit cet article n’ai pas l’âge (et donc ni le recul) pour faire le parallèle?

La seule chose que je peux vous dire, c’est qu’on a quand même l’impression d’être à l’avant-garde de ce que sera le e-commerce demain.

Remarque : Aucun conseil financier n’est donné dans cet article ni dans tout autre article sur zonebitcoin. Il s’agit d’information dont vous êtes le seul juge et maitre. Soyez responsable de vos investissements et n’investissez qu’une somme dont vous êtes prêt à perdre.

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